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Vincent ESTELLON
vincentestellonparis5@gmail.com
Vincent Estellon, psychologue clinicien, psychanalyste est Professeur à Paris 7.
Ses recherches portent principalement sur les fonctionnements limites chez le jeune adulte. Les problématiques de recherches s’articulent autour des questions de la dépendance, de l’agir, des transgressions, des sexualités et de la création. Ses activités cliniques en CMP et en CMPP l’ont conduit à resserrer ses recherches sur la psychopathologie du lien amoureux chez le jeune adulte.
Directeur du Master PCP, Directeur du Doctorat psychologie clinique ED 60, (Master Psychologie clinique et psychopathologie), Université Paul Valéry, UFR 5, Département de Psychologie, Laboratoire EPSYLON EA 4556. Equipe 5 : C.E.E.S., sous équipe C.A.P. (Corps, Affects Psyché, dir. Solange Carton)
Terreur d’aimer et d’être aimé, Psychopathologie du lien et de la vie amoureuse, Toulouse, érès, Themapsy.
Quel genre de sexe ? (2017) Jacques André et coll, Paris, P.u.f., Petite bibliothèque de Psychanalyse
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Cinq psychanalystes et une politiste interrogent les théories du genre. Domination masculine et privilège de l’hétérosexualité sont les deux adversaires dont les théories du genre remettent en cause les prétentions. L’expérience du psychanalyste est d’un autre ordre, son objet, l’inconscient, ignore l’égalité et cultive à loisir le « politiquement incorrect ». Les études de genre nourrissent l’espoir politique d’un traitement social à parité entre les sexes et les sexualités. Si la psychanalyse aspire aussi au changement, celui qui permet au moi de l’analysant de gagner un peu de liberté, c’est sans préjuger de ce qui définit le « bien » de chacun. Entre la psychanalyse et les Gender Studies, le débat est aussi nécessaire que complexe, parce que convoquant des plans hétérogènes. L’expérience clinique des homosexualités et des bisexualités est pour ce débat un véritable croisement. Jacques André est psychanalyste, professeur de psychopathologie clinique à l’université de Paris Diderot. Il est l’auteur des 100 mots de la psychanalyse (Que sais-je ?), de Paroles d’hommes (Gallimard, 2012) et de Psychanalyse, vie quotidienne (Stock, 2015), Vincent Estellon, auteur des sex addictif (Que sais-je?) est professeur de Psychopathologie clinique à l’Université Paul Valéry Montpellier 3. |
CLIVAGES (2016) sous la direction sous la direction d’Alain Braconnier et Bernard Golse, Toulouse, érès, collection Carnet Psy.
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Qu’il s’agisse du bébé ou de l’adolescent, la référence au clivage prend de multiples visages. Pourquoi, à ces différents âges de la vie sommes-nous souvent contraints de prendre en compte son existence et d’en préciser l’influence ? Serait-ce le fait de la menace constante des enjeux de la construction de la psyché ? Ou encore, celui de la difficulté à établir des liens avec soi et avec l’autre ? L’aptitude à se diviser intérieurement ne vaut-elle pas comme une ressource humaine qui nous mène de l’amour primaire à l’ambivalence ? Face au bébé et à l’adolescent, les ponts semblent parfois rompus, menaçant les uns et les autres d’une déchirure si ce n’est d’un effondrement. Le clivage permettrait-il alors de freiner le tourbillon des séparations et d’éviter ainsi les ruptures intrapsychiques, intersubjectives et interpersonnelles ? À partir de leurs pratiques cliniques, les auteurs interrogent cette notion psychanalytique, en allant au-delà de la seule référence au clivage du moi comme processus de défense face au « conflit entre la revendication de la pulsion et l’objection faite par la réalité » (Freud, 1938). |
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Des rituels obsessionnels compulsifs jusqu’aux agirs limites, c’est tout le corps qui est mobilisé : il faut gesticuler dans le vide, toucher, ordonner, nettoyer, fermer/ouvrir, se laver, se scarifier, s’automutiler, suçoter, se remplir/se vider… Tout se passe comme si certaines fonctions du corps éduqué, prises dans une forme d’ivresse négative, se révoltaient contre l’autorité du Moi. |
2) Estellon V. (18/122020) « Écrire pour survivre. Les masques de survie de Roman Kacew. » Revue française de psychosomatique, 58(2), 41-56. https://doi.org/10.
3) GAL C., LEROY-VIÉMON B., ESTELLON V. (2020)« L’usage de la fiction en psychodrame auprès d’adultes psychotiques ». Cahiers de psychologie clinique. 55(2), 351-362. https://doi.org/10.
4) ESTELLON V., (2020) « Troub
5) ESTELLON V., GAL C. (2020) « Le psychodrame de groupe : un théâtre des limites ? » Adolescence, t.38 2(2), 521-531. https://doi.org/10.
6) MAZOYER A.V., ROQUES M., ESTELLON V, (2020) « Sexualité limite et processus mélancolique chez une femme ayant subi l’inceste : un cas de masochisme pervers féminin ». Revue Française de Psychanalyse, 84, 1021-1031. https://doi.org/10.